Le ministre congolais de la Coopération internationale et du partenariat public privé, Denis Christel Sassou Nguesso et le vice-ministre russe de l’Energie, Pavel Sorokin, ont récemment signé à Moscou en Russie l’accord intergouvernemental sur le projet de pipeline Pointe-Noire-Brazzaville- Maloukou lors de la 7e commission mixte Congo-Russie tenue à Moscou.
Ce pipeline qui sera dédié à la fourniture des produits pétroliers et gazeux devrait relier les villes de Pointe-Noire, de Brazzaville et de Ouesso.
Cet ouvrage outre qu’il vise à rendre disponibles les produits pétroliers sur tout le territoire congolais et mettre fin à leur convoyage via certains pays comme la RD Congo, a aussi l’objectif de renforcer la capacité de transit du Congo, grâce à sa situation géographique.
“A la découverte de la République du Congo au fil de l’eau’’ tel est l’intitulé du livre album qui vient de paraître aux Editions Marque-Pages. Une réception à l’initiative de Rodolphe Adada, ambassadeur du Congo à Paris a été organisée pour marquer la parution dudit livre à l’ambassade de la république du Congo mardi 15 octobre 2024.
De nombreuses personnalités étaient présentes, à commencer par Jean-Claude Gakosso, ministre congolais des Affaires étrangères, Yamina Benguigui, réalisatrice et femme politique française, Denise Epoté Durand, Directrice marketing de TV5 Monde, Rémy Darras, réalisateur français, président de Fleuve Congo Productions et bien d’autres.
La réception s’est ouverte sur la projection d’un documentaire de présentation, réalisé par les équipes de l’éditeur Michel Duplessier, mettant en valeur la beauté et à la richesse de la forêt et de l’aqua système congolais, dans toute leur diversité, des rives de l’océan aux profondeurs de la jungle primaire, du Mayombe, de la Likouala et de la Sangha.
De fait, la forêt congolaise étale au long de l’immense fleuve Congo et de ses affluents une diversité et une richesse de faune de flore qui n’a pas d’équivalent dans le monde, sinon celle de sa sœur jumelle, la forêt amazonienne, de l’autre côté de l’Océan atlantique.
Fruit d’une série de voyages et de reportages organisés en 2023, “A la découverte de la république du Congo au fil de l’eau’’ porte sur une question essentielle de notre temps, la problématique de l’environnement. Il propose une immersion dans les forêts et réserves naturelles de ce pays fascinant de six millions d’âmes.
Thierry Foulon, le reporter d’images de l’ouvrage a posé son regard sur des sites remarquables, comme la réserve d’Odzala Kokoua, inscrite au Patrimoine mondial de l’Unesco. Le voyage auquel il invite le lecteur est un privilège. Ces espaces de terre et d’eau, irrigués par le puissant Fleuve Congo et ses nombreux affluents – la Sangha, l’Oubangui, la Likouala ou l’Alima, pour ne citer que les plus évocateurs – sont pour la plupart inaccessibles par la route. Soustraits à la pression humaine, la forêt s’y déploie en majesté.
Au hasard des 242 pages de cet album, on découvrira les riches populations de gorilles des plaines, les troupeaux de grands éléphants, les buffles d’eau, l’antilope Bongo ou le léopard.
Cet ouvrage est préfacé par le président de la république, Denis Sassou N’guesso qui, engagé de longue date pour la défense de l’environnement, s’est imposé comme un leader de la diplomatie verte mondiale. Le chef de l’Etat plaide sans relâche pour une juste reconnaissance du rôle des pays forestiers du sud dans l’équilibre du climat.
Au-delà du voyage qu’il propose, “A la découverte de la République du Congo au fil de l’eau’’ a pour ambition de toucher ses lecteurs, d’éveiller leur conscience et de servir de source d’inspiration à ceux qui cherchent à comprendre et protéger la nature, en conciliant respect du vivant et défis du développement. La forêt du Bassin du Congo est devenue aujourd’hui le premier puits de carbone de la planète, séquestrant annuellement six fois plus de CO2 que l’Amazonie dégradée par une activité humaine non maitrisée. Elle abrite aussi un écosystème unique et fragile de tourbières susceptibles de stocker jusqu’à 30 milliards de tonne de dioxyde de carbone. Le changement climatique est pour elle la principale menace.
Cet ouvrage est à la fois un temps suspendu, une réflexion et surtout un très beau voyage. Rarement un livre permet, comme celui-ci, de mesurer à la fois visuellement et de manière quasiment tangible, l’importance stratégique de l’objet qu’il décrit.
Shenghong Cheng, directeur général de la société de recherche et d’exploitation minière SOREMI a été reçu en audience ce lundi 14 octobre 2024, par le Président de la République Denis Sassou-N’Guesso.
Cette audience s’inscrit dans la phase de la concrétisation des accords signés par le ministère congolais des industries minières et de la géologie et cette société chinoise, le 7 septembre 2024 à l’occasion de la de la visite d’État du Président Denis Sassou-N'Guesso en République populaire de Chine, du 5 au 10 septembre dernier à Beijing.
En effet, lors de cette visite, 18 accords de coopération bilatérale ont été signés dans des domaines aussi divers que les infrastructures, les mines, l’agriculture et autres en présence des présidents Denis Sassou N’guesso et Xi Jinping.
Dans le domaine des mines, ces accords intéressent prioritairement le développement des ressources d’or détectées dans certains sites au Congo.
« Notre visite d’aujourd'hui a pour objectif de mettre en œuvre les consensus atteints par les chefs d’État des deux pays, et surtout pour concrétiser les accords signés au moment du FOCAC en présence des deux chefs d’État. Parmi ces accords, il y a deux accords concernant notre groupe China Gold » a fait savoir Shenghong Cheng, au sortir de l'audience.
Il a en outre précisé que « L’un de ces accords porte sur la réalisation du développement coopératif des ressources minières dans le Nord du Congo, avec le ministère de la géologie et des industries minières du Congo tandis que l’autre est pour assurer la collaboration de l’enseignement avec l’université Denis Sassou-N’Guesso ».
A cet effet, la mise en œuvre de ce protocole d’accord permettra le développement des ressources minières au Congo, dans le but de favoriser la collaboration à long terme avec le Congo.
Il cherche à mettre en pratique l’objectif des chefs d’États des deux pays, visant à construire conjointement une communauté de destin pour la Chine et la République du Congo, et à travailler ensemble pour parvenir à la modernisation de ces deux pays.
Arsène N. Mfourga, Presse présidentielle.
L’ambassadeur de la République du Congo en France, Rodolphe Adada a reçu en audience la délégation du Haut conseil représentatif des Congolais de l’étranger (HCRCE) conduite par sa présidente, Agnès Ounounou pour évoquer la tenue du «Forum REPATS" qui aura lieu à Brazzaville, le 18 octobre 2024.
L’occasion a permis à la présidente du HCRCE d’exposer les motivations premières de la tenue du "Forum REPATS" qui réunira les congolais de la diaspora animés par le désir d’entreprendre, de changer les choses, de renouer avec leur famille ou avec leurs racines. Ils ont fait le choix de repartir s’installer en République du Congo.
Pour la plupart, ces Congolais nés en France ou au Congo, ayant la double nationalité et nantis de certaines compétences et d’expérience internationale, ont décidé de revenir dans leur pays d’origine afin d’y créer des entreprises ou d’y travailler. Ils sont désignés par le terme de "REPATS" par opposition à "EXPATS".
Le HCRCE, en appui des institutions étatiques, passera en revue la problématique de ces "REPATS" déjà sur place au Congo, ou encore à l’étranger mais en phase d’aller participer au développement, ou de pouvoir mettre au profit de leur pays tout ce qu’ils ont appris.
« Certes à l’ère du numérique où l’on parle de relations décloisonnées grâce aux nombreuses passerelles, il est opportun d’établir une co-construction, même à distance. Mais revenir au pays, c’est, me semble-t-il, une des meilleures manières d’œuvrer pour le développement solidaire durable » a expliqué Dimitri M’Foumou-Titi, président du département économie du HCRCE.
L’ambassadeur s’est engagé à mettre la forme administrative pour assurer le bon séjour de la délégation au Congo en souhaitant beaucoup de succès à la tenue du forum.
En lieu et place du Président Denis Sassou N’Guesso, le ministre des Affaires étrangères, de la Francophonie et des congolais de l’étranger, Jean-Claude Gakosso a pris la parole à la tribune de la 79ème assemblée générale des Nations Unies le 30 septembre 2024. Le Ministre des affaires étrangères, de la Francophonie et des Congolais de l’étranger, a appelé à la fraternité universelle, « cette utopie généreuse, sublimée au temps des Lumières et qui a nourri, en 1948, la Déclaration universelle des droits de l’homme, devenue le credo de tous les humanistes ». Il a constaté que notre monde a vitalement besoin de renouer avec la paix, avant de rappeler le plaidoyer légitime de l’Afrique en faveur de deux sièges de membres permanents, avec droit de veto, au sein du Conseil de sécurité. Il a rappelé la position commune africaine, telle qu’elle a été consignée dans le Consensus d’Ezulwini et la Déclaration de Syrte.
Gakosso a ensuite évoqué les diverses problématiques écologiques auxquelles le monde fait face, y compris les changements climatiques qui constituent aujourd’hui une menace existentielle. Il a appelé à agir « ici et maintenant », afin d’épargner à notre monde un bouleversement cataclysmique irréparable. L’un des axes de cette action, a-t-il souhaité, c’est l’afforestation intelligente et le reboisement généralisé de la planète. Le Congo porte un projet de résolution sur la question, lequel vise l’augmentation substantielle, progressive et irréversible de la superficie forestière mondiale, sur la base d’une coopération internationale qui mutualise harmonieusement les activités d’afforestation et de reboisement sur l’ensemble du globe.
Le Ministre a en outre évoqué le « sempiternel blocus infligé à Cuba », qui cause d’indicibles souffrances aux populations innocentes de ce pays. Il a appelé à la sagesse du peuple américain et à la sagacité de ses dirigeants, qui pour la plupart n’ont rien à avoir avec cette sorte d’avatar résiduel de la guerre froide. Il a terminé en plaidant pour une humanité fraternelle et « arc-en-ciel », comme l’imaginait dans cette même ville le grand artiste qu’était John Lennon et comme la rêvait, du fin fond de sa prison, Nelson Mandela.
Le ministre des Affaires étrangères, de la Francophonie et des Congolais de l’étranger, Jean-Claude Gakosso, a participé à la quarante-cinquième session de la conférence ministérielle de la Francophonie qui s’est tenue le 3 octobre à Paris.
Les travaux de la conférence ministérielle visaient notamment à préparer le 19e sommet de la Francophonie, qui a eu lieu les 4 et 5 octobre à Villers-Cotterêts sur le thème "Créer, innover et entreprendre en français".
La présence du ministre Jean-Claude Gakosso à cette conférence souligne l’importance accordée par le Congo aux objectifs de l’OIF, à savoir promouvoir la diversité linguistique, encourager les innovations économiques, et soutenir le développement de l’entrepreneuriat francophone.
Lors de son intervention, Jean-Claude Gakosso a réaffirmé l’engagement de la république du Congo à soutenir les initiatives de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF) visant à encourager les jeunes à entreprendre et à innover, tout en préservant et valorisant la langue française comme outil de développement. « Notre Organisation a clairement voulu encourager les pays membres à investir davantage dans le domaine de l’entrepreneuriat, gage de la croissance économique, moyen sûr de résorber tant soit peu ce chômage endémique des jeunes dans les pays francophones, tout en plaçant la langue française au cœur de la communication, de la culture, de l’innovation, des échanges et de la gestion d’entreprise. L’adhésion de la république du Congo à cette vision, ainsi qu’aux documents soumis à notre délibération, est pleine et entière » a-t-il déclaré
Cette participation active du Congo à la conférence ministérielle témoigne de la volonté du pays de renforcer ses liens avec les autres États membres de la Francophonie, tout en contribuant à l’édification d’un espace francophone dynamique et prospère.
Et s’agissant des crises qui troublent la paix dans l’espace francophone, le ministre des Affaires étrangères, de la Francophonie et de congolais de l’étranger a demandé de privilégier la voix du dialogue. (..) la voix des leaders politiques francophones ne peut pas être celle qui en appelle à la force aveugle des canons. La voix des leaders politiques francophones ne peut pas être celle qui en appelle à « l’envoi des troupes au sol ! », a-t-il confié. Il a conclu son propos en ces termes : « dans toutes les situations de guerre que nous vivons, la voix francophone doit invariablement et courageusement en appeler à la paix. La recherche persévérante de solutions négociées : voilà notre seul crédo !»
Claire Bodonyi, ambassadrice de France au Congo, a été reçue ce jeudi 03 octobre 2024 par le président de la République Denis Sassou-N'Guesso, au Palais présidentiel.
La cheffe de la mission diplomatique de la république française en république du Congo a fait le point au président Denis Sassou N’Guesso, de divers sujets de coopération dont celui du drainage des eaux pluviales à Brazzaville.
"Nous avons été amenés à faire brièvement le point sur les dossiers de la coopération entre le Congo et la France. Il s'agit des dossiers en instance de traitement confiés aux deux parties, lors de la visite du président Emmanuel Macron, pendant son séjour en juin 2023…", a affirmé Claire Bodonyi.
« A propos de l’aménagement de la rivière Tsiémé, les appels d’offres ont été lancés, les travaux ne sauront tarder. (..) les fonds alloués à cette activité sont prêts, mais il reste à exproprier les populations riveraines ; 64 millions d'euros ont été débloqués », a indiqué la diplomate en évoquant, par ailleurs, la nécessité d’achever le deuxième module de la Corniche Sud de la ville capitale.
Le problème de l'employabilité des jeunes a aussi préoccupé les deux interlocuteurs. Claire Bodonyi a affirmé également que son pays est vraiment engagé dans ce domaine, d'autant plus qu'on ne peut parler de la jeunesse sans parler de son avenir et de son employabilité, et aussi de sa place dans la société.
C'est pourquoi, a-t-elle affirmé, une caravane dite ''Mossala'' partira le 10 octobre de Brazzaville jusqu'à Ouesso, pour sensibiliser les jeunes sur l'importance de l'emploi.
D’autres dossiers de coopération, notamment la protection de la biodiversité, le patrimoine historique et mémoriel liant les deux pays, ont également été évoqués. C'est pour cela que les dossiers du CFRAD et du mémorial Pierre Savorgnan de Brazza ont aussi figuré au menu de leurs entretiens.
Gaston Kanga, Presse présidentielle
La France a accueilli, les 4 et 5 octobre 2024, le 19ème Sommet de la Francophonie, réunissant à Paris et à la Cité internationale de la langue française à Villers-Cotterêts, les 88 États membres de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF). Le président de la république, Denis Sassou Nguesso du Congo a été représenté par le ministre des Affaires étrangères, de la Francophonie et des congolais de l’étranger, Jean Claude Gakosso.
Après Erevan en Arménie puis Djerba en Tunisie, les membres de l'OIF se sont réunis en France, où se trouve le siège de l'organisation, pour la première fois depuis 33 ans. La rencontre a eu pour thème « Créer, innover et entreprendre en français ». Les participants ont échangé autour de la langue française et anticiper son développement à l’heure où le tournant numérique s’accélère.
De cette manière, ils ont invité les grands acteurs du numérique à "bâtir un espace plus sûr et plus divers et à lutter contre tous ces discours de haine". Par ailleurs, lors de son discours d’ouverture, le président de la république française, Emmanuel Macron a appelé à "bâtir un ordre numérique protégeant les citoyens", pour "mieux lutter contre la désinformation, la propagation de la haine en ligne, les discours de haine, racistes, antisémites". Il a expliqué que la Francophonie constitue à ses yeux un espace d'influence, plaidant pour que ses membres portent ensemble une diplomatie défendant partout la souveraineté et l'intégrité territoriale partout à travers la planète.
Le président français a en outre invité les jeunes entrepreneurs à compter sur le français comme vecteur dans les relations commerciales, alors que le nombre de francophones - plus de 340 millions de personnes actuellement - devrait doubler dans les prochaines décennies.
Louise Mushikiwabo, Secrétaire générale de l’OIF a, pour sa part, plaidé pour un multilatéralisme rénové, dans un monde de plus en plus divisé et troublé.
Ces dernières années, et ces dernières semaines, « le monde a vécu une forte recrudescence de tensions politiques et sécuritaires qui ont largement impacté l'espace francophone » a-t-elle déploré.
La Secrétaire générale de la Francophonie a aussi souligné sa volonté de voir les trois pays suspendus par l’OIF (le Mali, le Burkina Faso et le Niger) réintégrer l’organisation. Elle précise que l’OIF a adopté “un mécanisme de suivi et d’évaluation de la situation des États et gouvernements faisant l’objet de sanctions.”
C’est en appliquant ce nouveau procédé d’évaluation que la suspension de la Guinée, effective depuis 2021, a été levée.
Sur un autre volet, elle a réfuté toute domination de l’organisation par la France. « La Francophonie n’est pas la Françafrique et la Francophonie n’est pas la France », a-t-elle asséné.
Étalé sur deux jours, Trois enjeux majeurs ont marqué ce sommet qui a donné aux Etats membres l’occasion de définir les grandes orientations de l’Organisation. Il s’agit de :
La jeunesse francophone et l’emploi : la question de l’emploi des jeunes a été placée au centre des discussions, avec la volonté de créer des solutions concrètes tant au sein de l’OIF que dans les États membres pour offrir à la jeunesse des opportunités d’insertion professionnelle en langue française.
Nouvelles adhésions et changement de statut : Plusieurs États et gouvernements ont soumis des demandes d’adhésion ou de modification de leur statut à l’occasion de ce Sommet. Parmi les nouveaux observateurs figurent l’Angola, le Chili, la Nouvelle-Écosse (Canada), la Polynésie française (France) et la Sarre. De plus, des pays comme Chypre et le Ghana ont vu leur statut évoluer pour devenir membres de plein droit, témoignant de l’attractivité croissante de l’OIF.
Multilatéralisme et gestion des crises : Dans un contexte de fragilité du multilatéralisme, le sommet a été l’occasion de réfléchir à la plus-value de l’OIF dans la gestion des crises qui touchent l’espace francophone. Les travaux ont abouti à l’adoption de trois textes majeurs, notamment la Déclaration du Sommet, la Déclaration de solidarité avec le Liban, et la Résolution sur les crises dans l’espace francophone.
Ces décisions témoignent du rôle crucial de l’OIF dans la construction d’une Francophonie solidaire, innovante et engagée.
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